​Nietzsche disait que « l’Homme était un animal dont le caractère propre n’était pas fixé », une sorte d’errance à la fois individuelle et massive de notre espèce qui se distingue des autres par ses comportements.

L’Homme est une espèce sociale. La solitude nous est très difficile alors nous créons un cercle social dans lequel nos comportements se mêlent aux autres faisant place à l’histoire et à des histoires.

Chaque situation nait de cette espèce toujours en recherche qui se rencontre. Entre « étrange animal », on parle, on raisonne, on crée, on ment, on rit, on pleure, on efface les traces.

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Après le Requiem de Mozart où Estelle Danvers explore la condition mortelle de l’Homme qui cherche la lumière et après Be Bach ou l’ensauvagement où elle questionne sur l’influence du groupe sur l’Homme et sur ses choix face aux autres, Estelle poursuit sa recherche de l’Humain avec Étrange Animal.

Elle place la rencontre au cœur de son travail, convaincue que l’interaction sociale fait l’Homme, dans ses bons comme dans ses mauvais penchants.

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